Concepteur-Rédacteur

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Créatif, Data-tech, Chef de projet, Chief Data Officer, Développeur web… comme chaque mois, nous vous présentons un talent de l’agence. Rendez-vous ce mois-ci avec Elise Baudour, Concepteur-Rédacteur, qui raconte son métier.

QUELLES SONT TES RESPONSABILITÉS CHEZ KISS THE BRIDE ?

Mon rôle est lié à tout ce qui touche à la conception et à la rédaction, que ce soit pour des appels d’offres des clients, des chartes éditoriales, trouver de nouveaux concepts, mais aussi pour la conception des newsletters, de contenus…  Je suis en charge d’une collaboratrice qui s’occupe elle aussi de la conception/rédaction, et au-dessus de moi j’ai la directrice de la création, Sandrine Fonteneau.

 

QU’EST-CE QUI FAIT QUE POUR TOI KISS THE BRIDE EST UNE AGENCE DIFFÉRENTE ?

La partie data. Elle apporte un nouvel objectif, une nouvelle donne à prendre en compte pour les communications. C’est novateur. Après avoir été en agence de pub, où il était compliqué de se renouveler, travailler avec la donnée ajoute un élément supplémentaire qui permet de changer et qui ouvre le champ des possibles.

Ici, j’ai la volonté de l’utiliser un maximum, de trouver une idée de créa qui intègre cette partie data, pour pouvoir créer un échange qui sera personnalisé au maximum. Pour moi la data, c’est la relation client améliorée.

 

QUELLE EST LA RENCONTRE QUI A LE PLUS COMPTÉ DANS TON PARCOURS ? ET CELLE QUI A DURÉ LE PLUS LONGTEMPS ?

Mon premier directeur de création, qui est une personne qui a su me faire confiance alors que j’étais simplement en stage. Quand j’apportais une idée, il arrivait à en garder l’essence pour en faire finalement quelque chose d’exceptionnel. C’est lui qui m’a tout appris.

A l’agence, c’est Sandrine : on a construit ensemble une très belle relation humaine, saine, et honnête.

 

TON ANECDOTE À L’AGENCE ?

Alors je mange à midi pile, je prends mon goûter à 17h pile, et je prends un pot-au-feu à 10h en lendemain de cuite. [rires]

 

TON ENGAGEMENT OU TA PASSION ?

Lors d’un voyage en Jordanie à cheval, j’ai pu être en immersion avec la population d’un pays, sa culture, et c’est là que j’ai eu un déclic. Je ne vois pas l’intérêt de partir pour partir, j’ai besoin de donner un sens à mes voyages. En Septembre prochain, je pars donc faire un voyage humanitaire en Birmanie dans un hôpital bouddhiste, pour aider les enfants malades, à l’entretien et à animer les réseaux sociaux.

Côté hobbies, j’ai aussi fait du surf, notamment au Portugal et à Biarritz.

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